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Lorsque le contrat de concession est conclu par un pouvoir adjudicateur, le montant de la modification prévue à l’article R. 3135-2 ne peut être supérieur à 50 % du montant du contrat de concession initial. Lorsque plusieurs modifications successives sont effectuées dans le respect des dispositions du présent article, cette limite s’applique au montant de […]
Le contrat de concession peut être modifié lorsque, sous réserve de la limite fixée à l’article R. 3135-3, des travaux ou services supplémentaires sont devenus nécessaires et ne figuraient pas dans le contrat de concession initial, à la condition qu’un changement de concessionnaire soit impossible pour des raisons économiques ou techniques tenant notamment aux exigences […]
Le contrat de concession peut être modifié lorsque les modifications, quel que soit leur montant, ont été prévues dans les documents contractuels initiaux, sous la forme de clauses de réexamen ou d’options claires, précises et sans équivoque.Ces clauses indiquent le champ d’application et la nature des modifications ou options envisageables, ainsi que les conditions dans […]
Les contrats de concession relevant de l’article L. 3134-3 sont soumis aux dispositions du présent titre, à l’exception des dispositions du présent chapitre.
Pour l’application de l’article L. 3134-2, l’autorité concédante exige le remplacement du tiers concerné dans un délai de dix jours à compter de la réception de sa demande par le concessionnaire.
Le concessionnaire informe l’autorité concédante de tout changement relatif aux informations mentionnées à l’article R. 3134-1 intervenant au cours de l’exécution du contrat de concession ainsi que des informations requises pour tout nouveau tiers qui participe ultérieurement à ces services ou travaux.
Le concessionnaire indique à l’autorité concédante, après l’attribution du contrat et, au plus tard, au début de son exécution, le nom, les coordonnées et les représentants légaux des tiers participant à ces services ou travaux dans la mesure où ces informations sont connues à ce stade.
Les intérêts moratoires et l’indemnité forfaitaire pour frais de recouvrement sont payés dans un délai de quarante-cinq jours suivant la mise en paiement du principal.
Le montant de l’indemnité forfaitaire pour frais de recouvrement est fixé à 40 euros.
Les intérêts moratoires courent à compter du lendemain de l’expiration du délai de paiement ou de l’échéance prévue par le contrat de concession jusqu’à la date de mise en paiement du principal incluse.
Le taux des intérêts moratoires mentionné à l’article L. 3133-13 est égal au taux d’intérêt appliqué par la Banque centrale européenne à ses opérations principales de refinancement les plus récentes, en vigueur au premier jour du semestre de l’année civile au cours duquel les intérêts moratoires ont commencé à courir, majoré de huit points de […]
Lorsque l’ordonnateur et le comptable public ne relèvent pas de la même personne morale et ont convenu d’un délai de règlement conventionnel dans les conditions prévues à l’article 12 du décret n° 2013-269 du 29 mars 2013 relatif à la lutte contre les retards de paiement dans les contrats de la commande publique, ce nouveau […]
A compter de la réception de la totalité des pièces et mentions prévues à l’article R. 3133-21, un nouveau délai de paiement est ouvert. Ce délai est de trente jours ou égal au solde restant à courir à la date de réception de la notification de l’interruption si ce solde est supérieur à trente jours.
L’interruption du délai de paiement mentionné à l’article R. 3133-21 fait l’objet d’une notification au créancier par tout moyen permettant d’attester une date certaine de réception.Cette notification précise les raisons imputables au créancier qui s’opposent au paiement, ainsi que les pièces à fournir ou à compléter.
Lorsque la demande de paiement ne comporte pas l’ensemble des pièces et des mentions prévues par la loi ou par le contrat de concession ou que celles-ci sont erronées ou incohérentes, le délai de paiement peut être interrompu une seule fois par le pouvoir adjudicateur.Pour les pouvoirs adjudicateurs dotés d’un comptable public, cette interruption ne […]
En cas de versement d’une indemnité de résiliation, le délai de paiement de cette indemnité court à compter de la date à laquelle le montant de l’indemnité est arrêté, une fois la décision de résiliation notifiée.
Lorsque la constitution d’une garantie à première demande ou d’une caution personnelle et solidaire est exigée, le délai de paiement de l’avance ne peut courir avant la réception de cette garantie ou de cette caution.
En cas de versement d’une avance, le délai de paiement de celle-ci court à compter de :1° La date de notification du contrat de concession ;2° Lorsque le contrat de concession le prévoit, la date de notification de l’acte qui emporte commencement d’exécution des prestations correspondant à l’avance.Dans les autres cas, le délai de paiement […]
Si le pouvoir adjudicateur recourt à un prestataire dont l’intervention conditionne le paiement des sommes dues, l’intervention de celui-ci ne modifie pas le délai de paiement qui s’impose au pouvoir adjudicateur.
Lorsque le contrat de concession prévoit une procédure de vérification de la conformité des prestations, il peut prévoir que le délai de paiement court à compter de la date à laquelle cette conformité est constatée, si cette date est postérieure à la date de réception de la demande de paiement.La durée de la procédure de […]
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